Seule depuis sa naissance, la survie et l’avenir de l’enfant SHAMMAH, nécessitent l’assistance de la communauté.

Au mois de mai 2024, la fille SHAMMAH naît d’une mère malade du cancer et à bout de ses forces qui, deux jours après la césarienne, elle succombe laissant derrière elle, la petite.

À sa naissance, SHAMMAH n’avait que 900 grammes, difficile donc à vivre pour la nouveau-née, orpheline d’une mère qui aurait aimé voir et grandir sa fille, mais, le destin en avait décidé autrement.

En situation de vulnérabilité depuis sa naissance , l’enfant SHAMMAH avait été placée, sous le service spécialisé de l’hôpital charité maternelle de Goma.

photo d’illustration de l’enfant SHAMMAH à l’hôpital 

Aujourd’hui, trois mois après sa naissance précoce, la probabilité de la vitalité de la petite évolue au mieux jusqu’atteindre plus de 2000 grammes soit 2kg), synonyme d’une situation stable pour un enfant de son âge.

L’hôpital en a fait sa part, en portant secours à une vie qui était en perdition. Mais, la structure sanitaire doit libérer l’espace pour donner la chance à d’autres enfants en besoin d’être assister médicalement. D’où l’importance pour les personnes de bonne volonté d’apporter leurs contributions.

Quel besoin pour l’enfant?

À l’heure actuelle, l’enfant est en état d’être pris en charge par des structures sociales pour sa survie et son épanouissement. 

L’hôpital lui, avait apporté les soins nécessaires qui se lèvent actuellement à un montant de 744,37 dollars Américains.

Cette somme au-delà du moyen de la personne bienfaitrice qui, depuis la mort de la mère n’a cessé d’assister SHAMMAH.

Nous sollicitons le concours de personnes de bonne volonté pour libérer l’enfant dans la structure sanitaire. Pour sa garde, je saurai comment m’y mettre », a affirmé, la personne qui place encore son œil, à l’orpheline.

Rédaction 

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